Christian Gonzenbach

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CERAMIC BRUSSELS

CERAMIC BRUSSELS

Solo-show à la première foire d'art entièrement dédiée à la céramique contemporaine. 

Présenté par la galerie Sator, Paris.

Tour & Taxis, Bruxelles, du 25 au 28 janvier 2024

 


 

TENTATIONS & PALPITATIONS

TENTATIONS & PALPITATIONS

Eglise Saint François, Lausanne

25 août - 15 octobre 2023

Exposition personnelle de Christian Gonzenbach et Gilles Furtwängler

PROGRAMME COMPLET

 

TENTATION(S)

Nous avons fait de la tentation une affaire de

friandises et de séduction ; de bagatelle et de plaisir

de la chair, autant dire une tentation de toc et

d’écume qui fleure le moralisme et la culpabilisation.

La tentation dans la Bible n’est pas une affaire

d’accident de parcours, d’écart de conduite,

comme on le croit ; mais le terme renvoie à une

réalité anthropologique universelle : celle qui

caractérise l’humain lorsqu’il prend conscience de

son inaccomplissement.

A moins d’être hors sol, l’humain ne peut vivre

– en effet – sans éprouver parfois

douloureusement qu’il y a de l’inachevé en lui.

Il s’y cogne régulièrement et il n’est pas étonnant

qu’il s’ingénie à vouloir échapper à ce qu’il

considère comme une malfaçon coupable, un

manque à combler.

La tentation est un état chronique de l’humain

qui ne cesse de se débattre avec cette insuffisance

qui le blesse et l’humilie.

La tentation en l’humain se repère à ses

incessantes tentatives laborieuses – conscientes

ou non – d’échapper à ses impasses, comme à ses

ombres. Georges Haldas écrivait : « La pire

tentation est de désespérer de soi. Précisément

parce qu’il y a de quoi » ; à quoi il faut ajouter

cette autre tentation, qui est celle de sauver les

apparences, de se farder pour se montrer sous

son meilleur profil et faire illusion.

Dans ces multiples stratégies pour échapper

à la tentation, l’humain a souvent pensé les

églises comme des sanctuaires où il en serait

momentanément à l’abri. Mais c’est plutôt le

contraire qui est vrai. Les églises, parce qu’elles

résonnent d’une Parole qui dit l’humain dans son

intégralité en la dédramatisant, sont des espaces

où il ne peut se dérober à son indépassable

limite; non qu’il y soit jugé, mais parce qu’il y

entend l’écho d’une bénédiction venue de loin

et qui lui répète joyeusement qu’il est accueilli et

accepté tel qu’il est, invité à se tenir debout sans

en éprouver de honte.

Bonne nouvelle de la tentation lorsqu’elle nous

conduit jusqu’à cette altérité radicale qui nous

fait hospitalité et nous délivre de cette quête

obsessionnelle de perfection et d’artifice.

C’est à cette possible rencontre que nous

convient les deux artistes invités par l’association

l’Hospitalité artistique à s’emparer du thème

de la tentation(s) à Saint-François.

Le visiteur qui franchira le seuil de la nef

franciscaine lèvera les yeux vers ces mots puissants

et magiques écrits sur les bâches aiguisées de

Gilles Furtwängler. Y reconnaîtra-t-il une affinité

avec ces mots qui ne cessent de le traverser et de

s’emparer de lui pour lui faire miroiter la sécurité et

la satisfaction d’une identité enfin sans défaut :

le pouvoir, l’argent, l’avoir ?

Au sol, le même visiteur s’interrogera devant

les statues baroques déposées par Christian

Gonzenbach, statues dédiées à des dieux

inconnus ou, hélas, trop connus. Elles semblent

inertes, mais ne vous y trompez pas, elles activent

une mémoire rétinienne qui s’accompagne d’une

lancinante question : « ne les ai-je pas déjà une

fois rencontrés, ces dieux anonymes ? » Pour s’en

convaincre, le visiteurs les contournera pour

voir ce qu’elles cachent, il les touchera et se

demandera « que nous promettent ces statues

offertes à notre dévotion ? »

Jean-François Ramelet, Pasteur de l’esprit sainf


 

 

Galerie C, Neuchâtel

Galerie C, Neuchâtel

Exposition avec 

Pierrette Bloch, Noémie Doge, Christian Gonzenbach, Elisabeth Llach, Massao Mascaro, Lisa Mazenauer & Hélène Portier, Sarah Minutillo et Robin Wen

"depuis que les portes s'ouvrent à ce tremblement de l'air"

20.4 - 27.5.2023


 

 

DAS MÜSELET

DAS MÜSELET

Projet lauréat d'un concours d'art public, "Le Müselet" verra le jour à Winterthur.

Le Müselet

Boum, le bouchon vole. On fête un anniversaire, un mariage, la fin d'une scolarité ou l'inauguration d'un nouvel appartement. Le champagne gicle de la bouteille, les verres sont tendus pour ne pas perdre le précieux liquide. Un enfant cherche le bouchon qui a volé jusque derrière le canapé, le chat curieux vient à son secours.

Les adultes portent un toast. Pour les plus jeunes, on sert du jus de pomme tant qu'il y a encore des bulles.

La fête est terminée, les verres vides sont rangés, la table est nettoyée. Il reste un petit bout de fil de fer miteux au nom coquet : le Müselet. On hésite à le jeter, il passe de main en main. Et finalement, après quelques subtiles rotations, le panier devient un personnage, puis un animal, un petit chat peut-être, un renard ou un âne. Maintenant, on ne le jette plus, il atterrit sur le rebord de la fenêtre, un clin d'œil pour se souvenir de cette soirée festive.

En regardant par la fenêtre, nous imaginons soudain le petit animal dehors dans le jardin, nous l'imaginons très grand et nous l'imaginons très petit, comme une sculpture moderne, un peu drôle, un dessin d'enfant dans le ciel, un animal dans le jardin.

Et finalement, pourquoi pas ? L'art doit nous faire sourire, nous aider à rêver, à faire le lien entre notre vie quotidienne, domestique, et un monde onirique, ouvert, drôle, fou, étrange, surréaliste.

Quand on rentre chez soi à pied, on prend le petit chemin qui passe devant les jeux d'enfants, et là on le voit, le gros animal. Il surveille le chemin, ou bien il s'est égaré sur la pelouse, ou bien il a simplement grandi, sans s'en rendre compte, jusqu'à devenir cette sculpture géante.

La sculpture agit comme un point de rencontre pour les habitants.

Cette sculpture est un agrandissement 100 fois plus grand d'un légume de champagne. Elle est fabriquée à partir de tubes d'acier (d'un diamètre de 60 mm) qui sont pliés à l'aide d'une commande numérique selon un plan en 3D, puis peints de manière industrielle.

plus d'informations


 

Fululupulu, Gilililiri, Dorooosooo, Gnamayap, Keuuuleuuule & Arrrrrchhhiii

Fululupulu, Gilililiri, Dorooosooo, Gnamayap, Keuuuleuuule & Arrrrrchhhiii

lauréats: Christian Gonzenbach et Vincent Kohler 

Le pourcent culturel du collège des Parcs attribué à un fantastique projet artistique 

Les 400 élèves du collège des Parcs, actuellement en travaux, peuvent déjà? se réjouir de retrouver leur école rénovée et agrandie en 2025 : dans les cours de récréation émergeront des dents, queues et dorsales de monstres vivant sous le sol, ouvrant des fenêtres vers l’imaginaire et de belles perspectives de jeu. Une œuvre des artistes plasticiens Christian Gonzenbach et Vincent Kohler.

Le jury a longuement délibéré? pour départager les cinq dossiers artistiques sélectionnés au premier tour de cet appel a? projets culturel, parmi les 38 reçus. C’est finalement le projet de Christian Gonzenbach et Vincent Kohler qui sera réalisé? d’ici la réouverture du collège en 2025. « Le jury a été convaincu par l’aspect ludique de l’installation, qui active l’imaginaire et appelle a? l’action des élèves, au-delà? de la contemplation », rapporte sa présidente, Morgane Paillard, curatrice indépendante et directrice de la Galerie C a? Neuchâtel. Une installation dont le nom seul a de quoi intriguer : « Fulu- lupulu, Gilililiri, Dorooosooo, Gnamayap, Keuuuleuuule & Arrrrrchhhiii ». 

Les monstres dérangés sortent de terre 

En quoi consiste ce projet ? Six familles de créatures sont tapies dans le sol du collège. Mais on ne verra qu’une petite partie de leur corps – un tentacule, une queue, des dents ou une dorsale de géant des mers. A chaque monstre son matériau, allant de la céramique au bronze, en passant par le bois, le verre et l’aluminium. Et naturellement, ces éléments, en plus d’ouvrir des fenêtres vers l’imaginaire des enfants, appelleront au jeu : grimper, se suspendre, se faufiler et se cacher, ou encore gicler de l’eau, les possibilités sont innombrables ! 


 

 

YOU ARE HERE at MUDAC

YOU ARE HERE at MUDAC

 

La pièce "YOU ARE HERE" fait partie de l'exposition "DIALOGUE ENTRE UNE PIEUVRE ET UN PRESSE-AGRUMES" au MUDAC à Lausanne. Du 7.4.2023 au 7.1.2024

Le mudac révèle les trésors de sa collection à l’occasion d’une exposition dédiée qui propose une exploration surprenante et décalée dans la diversité de la collection du musée, du design aux arts appliqués contemporains.


 

espèce de cornichon !

espèce de cornichon !

Ma vidéo "Gherkins" participe à l'exposition au Musée de Carouge Espèce de cornichon !

du 11 février au 21 mai 2023


 

 

 

L'art de la préfabrication: une histoire locale

L'art de la préfabrication: une histoire locale

 

EXPOSITION au PAVILLON SICLI à Genève

conception & scénographie par Christian Gonzenbach

L’art de la préfabrication: une culture locale

Exposition du 2 au 9 décembre 2022
Tous les jours de 11h à 19h

Pavillon Sicli, 1227 Acacias / Genève 
Entrée libre

VERNISSAGE ET CONCERT LE VENDREDI 2 DECEMBRE DES 18H

VOIR LE TEASER VIDEO !!

 

L’exposition L’Art de la préfabrication : une culture locale se propose de revenir sur l’histoire récente de l’architecture et de l’urbanisme à Genève à travers l’aventure du béton préfabriqué, considéré comme le matériau « haute couture » de la construction architectonique. Ouverte au public, en accès libre, l’exposition initiée par l’entreprise genevoise Prelco pour son 50anniversaire sera rythmée par une série de visites guidées et de tables rondes. « L’art de la préfabrication », un livre consacré à cette fabuleuse saga, écrit par Bruno Marchand et illustré par le photographe Léo Fabrizio, sera dévoilé en parallèle de l’exposition dont la scénographie a été confiée à l’artiste Christian Gonzenbach.

 

Une culture locale

L’exposition retrace la trajectoire de l’entreprise Prelco – Préfabrication d’Éléments de Construction – qui voit le jour en 1972 et dont les prémices de l’activité datent de la fin des années 50. L’histoire de l’entreprise se fond dans l’histoire de la région tant ce matériau et ce savoir-faire est une métaphore de la transformation architecturale et urbanistique de la ville. La préfabrication, réduisant durée et coûts de réalisation, fait en effet son entrée après-guerre à Genève pour répondre aux enjeux de la croissance démographique du canton, avec l’édification de quartiers d’habitations plus denses telles que Le Lignon, Lancy ou Carouge. Cette technique a aussi singulièrement accompagné la réforme du système scolaire genevois, amorcée dés 1962, en permettant la construction de nombreux Cycles d’orientation en un temps record, puis des collèges et des universités. Elle ponctue aujourd'hui de manière régulière le paysage urbain et en est devenu un élément indissociable et familier.

Cinquante ans d’histoire dans un livre

Dans L’art de la préfabrication, la plume de Bruno Marchand, professeur honoraire à l’EPFL, réussit à restituer un demi-siècle de patrimoine bâti à travers l’évolution des activités de Prelco, entre exigences esthétiques, technologiques et écologiques. L'auteur explore trois grandes périodes et tire d'abord les enseignements du passé, de 1958 à 1993, des années marquées par le début de la préfabrication en Suisse romande, l’édification des cités-satellites et des Cycles d’Orientation genevois ; ensuite, de 1993 à nos jours, il se penche sur une période qui confirme l’accent mis sur la recherche de matérialité et d’amélioration des performances des panneaux de façade avec le haut niveau de technicité que cela implique. Enfin, une troisième partie s’interroge d’une façon large sur l’avenir de la préfabrication et de l’utilisation du béton dans la construction, face aux enjeux de durabilité actuels. L’auteur met ainsi à disposition d’un public très large un angle essentiel pour appréhender les spécificités du paysage urbain genevois. Les images du photographe Leo Fabrizio s’insèrent dans la publication telles des respirations contemplatives, s’immisçant dans les images d’archives et plongeant dans la matière et l’intense activité humaine de l’usine. 

 Une exposition publique

La scénographie de l’exposition a été confiée à Christian Gonzenbach. Dans son vaste vocabulaire de formes et de matériaux, l’artiste plasticien genevois utilise le béton pour la réalisation de certaines de ses sculptures. Sa pratique, constamment tournée vers l’investigation de nouvelles matières et l’expérimentation de différentes dimensions, apportera certainement une esthétique originale et audacieuse dans l’espace si particulier du Pavillon Sicli.

Le livre et l’exposition seront à découvrir à l’occasion de l’inauguration publique officielle le vendredi 2 décembre, qui sera suivie d’une soirée festive et musicale. Des visites guidées ouvertes à toutes et tous seront organisées durant tout le week-end. Pour croiser les regards sur l’histoire, les enjeux et les perspectives de la préfabrication, des tables rondes auront lieu les après-midis du mardi 6 et du mercredi 7 décembre. 

Programme détaillé sur Prelco.ch/50ans

Vendredi 2 décembre 2022
18h – 22h : Vernissage de l’exposition - Concert

Exposition ouverte de 11 à 19h tous les jours

 

 


 

 

 

DANGER IN PARADISE

DANGER IN PARADISE

 

ARNOLD ODERMATT & CHRISTIAN GONZENBACH

Galerie Angela Berney, Basel

Vernissage Jeudi 17 novembre dès 16h 

Expositon du 18.11 au 17.12 2022

Münsterplatz 17, 4051 Basel


 

LUNCH en PHILO EPFL

LUNCH en PHILO EPFL

La recherche scientifique est-elle une recherche artistique?

LUNCHenPHILO #4

Vendredi 14 octobre de 12h15 à 13h15
EPFL Pavilion A

Invités : Christian Gonzenbach, artiste et Pierre Gönczy, professeur en biologie cellulaire à l’EPFL

Modération: Anne Laure Gannac, journaliste au CDH et à la RTS

VIDEO ICI !!


 

GONZENPODCAST RTS

GONZENPODCAST RTS

Mutations textiles et céramiques

Mutations textiles et céramiques

Mutations textiles et céramiques

La Ferme des Tilleuls

du 1 septembre au 12 décembre 2022


 

MELTING POT

MELTING POT

Melting Pot ou comment changer du plomb en or

Centre d'art contemporain Yverdon

du 10 septembre au 6 novembre 2022


 

YAKIMONO

YAKIMONO

Exposition avec Philippe Barde & Toshio Matsui

Galerie Rosa Turetsky Genève

du 6 septembre au 1er octobre 2022


 

 

AARGAUER KUNSTHAUS

AARGAUER KUNSTHAUS

Aargauer Kunsthaus
Sammlungspräsentation
du 9 août au 13 novembre 2022

VIDEO 


 

FONDATION VILLA DATRIS

FONDATION VILLA DATRIS

Exposition TOUCHER TERRE

Fondation Villa Datris

27 mai au 1er novembre 2022


 

LA PLONGE

LA PLONGE

Exposition personnelle à la galerie Heinzer Reszler à Lausanne.

Un dispositif mécanique produit des oeuvres en direct dans la galerie.

VERNISSAGE LE SAMEDI 11 Décembre 15h - 19h

exposition du 11.12.2021 au 6.2.2022


 

GENITALIA - l'origine des sexes

GENITALIA - l'origine des sexes

VOIR LE FILM

Découvrir en musique et avec une animation en pâte à modeler la manière dont tous les organes génitaux humains (mâles, femelles et intersexués) se développent et se différencient à partir d’une origine embryonnaire commune.

Un film de Damien Molineaux & Christian Gonzenbach

conception: Céline Brockmann

production: C-Side Productions 

 

GONZENBOOK

GONZENBOOK

 

GONZENBOOK, 29x23 cm, 360 pages, 1798 gr

Monographie 1998-2021 de Christian Gonzenbach,

Editée sous la direction de Karine Tissot

 

Au carrefour des sciences naturelles et des sciences artistiques, l’artiste genevois oeuvre pour réunir les différentes facettes d’un monde qui se comprend trop souvent par fragments. Ainsi, des plumes sont issues de la critique d’art – Sarah Burkhalter, Deborah KellerHervé LaurentKarine TissotCharlotte Tron – ou de la science – Martin Pohl. Mais aussi d’horizons divers: céramistes – Philippe BardeAmandine GonzenbachToshio Matsui – rappelant une solide et première formation, conservateur au musée d’ethnographie de Neuchâtel – Bernard Knodel –, artistes – Katharina HohmannPierre-Philippe Freymond –, philosophe – Stephan Freivogel –, entrepreneur et collectionneur – Pierre-Alain L’Hôte –, directeur honoraire du Musée de la chasse à Paris – Claude d’Anthenaise –, tous offrent des regards singuliers qui affinent la compréhension de son travail dense et effervescent, connu en Suisse comme à l’étranger pour avoir exposé aussi bien dans des musées, des galeries, des centres d’art que des festivals à travers le monde.

à paraître prochainement...

Publié chez Infolio et L'APAGE


 

ART MÔTIERS 2021

ART MÔTIERS 2021

GOODBYE, 2021 

 

Debout sur ses pattes arrière, la girafe nous fait un signe de la main. 

Est-ce qu’elle nous dit “Au revoir” comme dans les parcs d’attraction ? 

Est-ce qu’elle nous dit “Adieu” car elle nous quitte, comme tant d’autres animaux sur cette Terre?

On ne le saura pas. 

La sculpture est fabriquée en plâtre fibré, monté sur des fers à béton. Comme le moulage d’un dinosaure qu’on voit dans les musées. Elle est réalisée à partir d’un vrai squelette de girafe.

Le tout sera volontairement monté à plat, comme un panneau, renforcé à l’arrière par des tiges metalliques, ancrés sur des plots en béton. Fait pour être vu de loin, comme au bord d’une autoroute.

Le moulage est imprécis, plus proche du fossile que du musée d’anatomie. La girafe est déjà dans le passé ou elle a rejoint les autres dinosaures.

20.06 - 20.09.2021

https://artmotiers.ch/fr


 

La sculpture suisse depuis 1945

La sculpture suisse depuis 1945

 

La grande exposition du musée de Aarau offre pour la première fois au public une vue panoramique sur la sculpture suisse avec 150 artistes représentatifs.

Parmi les oeuvres exposées: La Pietà (2014)

12.06 - 26.09.2021 

https://www.aargauerkunsthaus.ch/fr/


 

BOARISH, la suite

BOARISH, la suite

 

Première exposition personnelle à la Galerie Laurence Bernard, Genève.

NOUVEL ACCROCHAGE & NOUVELLES PIECES !!

NUIT DES BAINS Jeudi 6 mai, 12h - 21 h !!!

L'exposition continue jusqu'au 21 mai.

Boarish, réunit un ensemble de pièces récentes du sculpteur genevois qui concentre actuellement sa recherche sur la coexistence de situations contradictoires. Apparemment paradoxales, ces situations correspondent à la fameuse image du chat de Schrödinger. Les sculptures de Gonzenbach tendent vers cette superposition de deux états incompatibles. Des objets sont cassés et entiers à la fois et c'est même parce qu'ils sont brisés qu'ils restent entiers. Les vases en porcelaine de la série Hanabi, sont maintenus en place par le flux d'aluminum qui les a fait exploser. La tension contenue dans les sculptures de Gonzenbach s'étend sur plusieurs niveaux. Dans le même objet se retrouvent intriqués le sauvage et le civilisé, l'entier et le fragmenté, le naturel et le culturel, l'original et sa copie. 

Le travail prend la forme de séries différentes à travers un feu d'artifice de matériaux, bronze, porcelaine, aluminium, plâtre et résine. Chaque série est le fruit d'un procédé spécifique impliquant une technique développée par l'artiste. Les oeuvres sont issues de gestes, parfois simples, parfois très élaborés nécessitant de nombreuses étapes, impliquant des forces qui échappent au contrôle de l'artiste. Les sculptures deviennent des moments uniques figés dans un objet, des singularités impossible à reproduire. Ce ne sont pas des images ou des illustrations d'une théorie, mais la source même de la réflexion, là où la pensée peut commencer.


 

WILD WATER

WILD WATER

 

Au coeur de l'exposition SAUVAGE du Muséum d'Histoire naturelle de Neuchâtel, trône la sculpture-fontaine WILD WATER. 

Est sauvage ce qui n'est pas contrôlé ou contrôlable.
Est sauvage ce qui est en mouvement.

Le mouvement a besoin d'espace, de liberté.
La domestication, c'est le contrôle de l'espace, de la liberté, du mouvement.

Quand il n'y a plus de mouvements, c'est la mort.

Finalement, la vie est toujours sauvage.

 

Wild Water est une fontaine de boue, un circuit de particules d'argile en suspension dans de l'eau.

 

Bien que mue par des pompes électriques, le flux de la boue est libre, imprévisible. Par son mouvement, la boue crée des formes, qui sèchent puis sont dissoutes et d'autres sont créées, à l'instar des stalactites et des stalagmites.

 

Wild Water une sculpture sauvage.

 


 

 

Fierce Times

Fierce Times

Exposition à la Galerie SO
Avec Patrick Schätti
du 31 octobre au 19 décembre 2020

Fierce Times raconte la collision entre des mondes et des temps. La violence du choc crée des étincelles, comme des silex dans une grotte, éclairant par intermittence notre activité de faiseurs d'objets. Un masque primitif, reproduit en brique Lego, puis coulé en bronze. Un pierre précieuse attachée sur une bague avec une lanière de cuir brut. Des objets racontant les mondes dont ils sont issus, les gestes qui les ont créés, les matériaux qui les composent. Un collier en dents de porcelaine d'origine industrielle, en réalité un guide-fil fabriqué à Limoges pour machine à coudre Bernina. Encore une rencontre, un autre voyage. Un autre masque, en porcelaine aussi, anglaise cette fois-ci, de la Bone China pour être précis, usé par le vent jusqu'à la limite de la disparition, comme la tribu dont il est issu. Des colliers fossiles, d'autres pris dans l'ambre, des talismans, des grigris et autres porte-bonheurs issus d'une archéologie détournée. Tous ces objets issus d'assemblages matériels et culturels racontent notre monde, passé et présent, archaïque, industriel et poétique.

AVANT DEMAIN

AVANT DEMAIN

Exposition au Château de Penthes, Genève jusqu'au 13 décembre 2020.

«Avant demain» est un projet d’exposition qui présente des œuvres du Fonds cantonal d’art contemporain (FCAC) de Genève pour écrire un scénario à l’appui de nombreuses pièces rarement présentées au public.

À l’instar des artistes qui s’engagent aujourd’hui pour l’écologie, qui pourfendent les inégalités, s’inquiètent de la condition des migrants, soutiennent les peuples opprimés, l’exposition «Avant demain», comme un signe des temps, souhaite mettre en lumière le rapport que l’art entretient avec notre actualité. 

Christian Gonzenbach présente 3 oeuvres dont la monumentale Hval devant le Château.

L'artiste donne également une conférence le samedi 5 septembre à 15h.


 

LEBENSFORMEN au KIT

LEBENSFORMEN au KIT

Installation de la sculpture publique Lebensformen au KIT, Karlsruher Institute für Technologie.

Inauguration octobre 2020.


 

EXTRAORDINAIRE ! AU MUDAC

EXTRAORDINAIRE ! AU MUDAC

Dernière exposition au Mudac avant le déménagement vers Plateforme 10.

Extraordinaire ! réunit des objets repérés au fil des ans dans une présentation délibérément subjective. Petites perles, objets hors normes, les pièces constituant le corpus de l’exposition emmènent le visiteur dans un univers onirique et personnel où la fonction est remise en question : les œuvres sont démesurées, minuscules, ludiques, bestiales, végétales, subtiles, dérangeantes ou encore merveilleuses.

Christian Gonzenbach y présente 203 objets dont 200 outils en aluminium, un radiateur en céramique, un vase explosé et un lapin inversé.


 

Remplir le vide

Remplir le vide

 

Grand Opening de Komunuma, nouveau centre artistique à Paris

Inauguration de la galerie Sator avec

Remplir le vide, exposition personnelle 

DIMANCHE 20 octobre 14-18h 

Exposition du 20 octobre au 21 décembre 2019

Pour l'exposition inaugurale à Komunuma la Galerie Sator a donné carte blanche à l'artiste suisse Christian Gonzenbach. Avec Remplir le vide il propose un feu d’artifice. Du feu les œuvres de Gonzenbach en sont issues que ce soit la céramique ou la fonte elles en portent encore les marques. Quant à l’artifice il est présent partout ce «moyen ingénieux visant à agir à tromper». L’artificiel le «fabriqué de toutes pièces qui imite la nature...» C’est bien de cela qu’il s’agit d’imiter ou plutôt de refaire la nature. Et c’est là que l’artiste s’ingénie à inventer des processus pour reproduire on n’est pas dans le figuratif plutôt dans la sculpture documentaire. A chaque opération le procédé révèle autre chose. Et soudain on voit les choses comme on ne les avait jamais vues.  


 

ET LES CHIMÈRES...

ET LES CHIMÈRES...

Exposition à la Galerie C, Neuchâtel

Du 19 sept au 26 octobre 2019

Avec Nicolas Darrot et Lionel Sabatté

Dans cette exposition sera présentée la toute première série de sculptures en bronze de l'artiste. 

 


 

LE GRAND LAPIN BLANC AU TO

LE GRAND LAPIN BLANC AU TO

 

Au centre du Théâtre de l'Orangerie, il y a « Le Grand Lapin Blanc ». Une sculpture de lapin géant.

C'est grand, c'est blanc, c'est doux.

Non, ce n’est pas une peluche.

C'est réellement un lapin taxidermisé, réalisé en 650 peaux de lapins cousues et assemblées pour créer ce géant. Ainsi il s’inscrit dans un cycle de vie et de mort proche du monstre du Dr Frankenstein. Pour lui donner vie, il a fallu prendre des vies. Moment délicat où la tendresse rencontre la cruauté.

Quant à l’origine des peaux de lapin, elle nous raconte la schizophrénie du monde. Ces peaux proviennent d’un élevage de lapins pour leur viande. Les peaux ne sont pas valorisées, car le port de la fourrure n’est plus à la mode, alors elles sont brûlées comme déchets carnés. Dans ce système, il vaut mieux détruire une fourrure que la porter. Ce sont donc des peaux de récupération. Aucun animal n’a été blessé ou tué pour la fabrication de cette œuvre.

Ce projet singulier et fort questionne le rapport que l’humain entretient avec les animaux, si proches et pourtant si différents… Le destin de ces « autres » est intimement lié au nôtre. Ils nous touchent émotionnellement, nous ressentons de l’empathie à leur égard. Paradoxalement, nous les élevons en masse pour nous en nourrir.

Le lapin a un statut particulier, il se trouve au croisement de plusieurs mondes : le monde de l’élevage, celui du laboratoire et celui des animaux de compagnie. Avec cette installation, l’artiste ne se veut pas défenseur primaire de la cause animale, mais plutôt celui qui nous place face à notre ambiguïté.

 


 

FATA MORGANA AILYOS LEYSIN

FATA MORGANA AILYOS LEYSIN

Dans le cadre de AILYOS Leysin 

Serait-ce une oasis ? Mes yeux voient-ils correctement ?

Tous les éléments sont réunis: la nature, l'eau, le dromadaire et le squelette. Pourtant quelque chose a déraillé.  

La source de vie, l’eau, contient un animal debout, donc vivant, mais mort, puisque en squelette. Un paradoxe. Que vient faire cet animal ici ?
Ce n’est pas un dinosaure, ni un yack, où sont ses bosses ?
Cette installation poétique, décalée, nous porte aussi à réfléchir sur le rôle essentiel de l’eau dans la vie, sur l’évolution biologique qui a permit la construction de structures aussi techniques que ces 200 os qui forment le squelette, pas si différent du nôtre finalement, et aussi sur notre monde et ce que nous en faisons.


 

GET A NERVE

GET A NERVE

 

Pendant Artgeneve la villa Sarasin accueille GET A NERVE, alter ego critique de la foire, à quelques mètres de Palexpo.

Pour cette occasion je vous invite dans le salon 12 de la Villa pour un casse-pipes spécial, dont les trophées ont remplacé les cibles. 

Du 30 janvier au 3 février 2019 / 18 h — 23 h

Villa Sarasin, Genève


 

2019 ANNEE ALCHIMIQUE

2019 ANNEE ALCHIMIQUE

ça fume déjà.

 


 

DOMESTICATION in BRUXELLES

DOMESTICATION in BRUXELLES

«La découverte du verre», 2018, Verre sable de quartz

"Domestication"

 
Vernissage dimanche 13 janvier 15h-19h

Rivoli Building, ground floor 11
Chaussée de Waterloo 690 (Bascule)
BE-1180 Uccle / Bruxelles (Belgique)

 

Exposition du 13.01 au 02.03.2019
 
L'acte de domestication, l'introduction des animaux dans la "domus" (la maison), est toujours un acte autoritaire, nécessitant des outils réels et symboliques tels qu'un fouet ou un bâton. L'exposition explore l'intérieur de la "domus" humaine et les objets qu'elle contient. C'est à l'intérieur d'un dispositif de présentation spécialement conçu pour l'exposition que l'artiste présentera une collection de ces objets, allant de vases extravagants aux outils de cuisine archaïques et de la maîtrise du feu à l'invention de figurines en céramique. 

 


 

Appareil Reproducteur 2.0

Appareil Reproducteur 2.0

 

Art Carouge invite l'artiste Christian Gonzenbach à créer une installation monumentale sur la place de Sardaigne.

Ce sera une version 2 de l“Appareil Reproducteur. Agrandi et amélioré !

C’est une sculpture.

C’est une machine.

C’est une machine qui produit des sculptures.

Fabriquée en poutres massives, l’Appareil reproducteur est une sculpture qui permet la production manuelle de statuettes en argile.

Il y a un joyeux anachronisme dans l’expérience de la reproduction manuelle à l’ère du numérique et des imprimantes 3D.

Il s'agit de manipuler une machine énorme pour produire une petite chose, de produire soi-même l’oeuvre d’un artiste et de pouvoir l’emporter gratuitement.

Cette installation permet de réfléchir sur le concept d’auteur, d’original, de copies, de geste et de gratuité,

parce que chaque pièce est faite par une personne différente et devient unique par sa fabrication.

SAMEDI 3 et DIMANCHE 4 NOVEMBRE

11h — 17h

Place de la Sardaigne, Carouge 


 

Holyclay Vending Machine

Holyclay Vending Machine

Holyclay Vending Machine, 2018

210 x 120 x 80 cm

céramiques, bois

 

L“exposition «Think about Real Times» réunit les étudiants et professeurs du programme postgrade REAL 2008-2009.

A voir à la Fonderie Kugler, 4bis rue de la Truite, 1205 Genève

mercredi à samedi 14-19h

jusqu“au 11 novembre


 

DOMESTICATION

DOMESTICATION

«Sceptre», 2018, Rebar steel

I am glad to invite you to my next solo exhibition "DOMESTICATION"
at DuflonRacz Gallery in Bern.
Opening Friday October the 5th at 6 pm.
Exhibition from October the 6th to November the 3rd 2018.

The act of domestication, bringing animals into the "domus" (the house) is already an act of authority. It presupposes to have a house at first and a tool to make use of authority, a whip (real tool) or a sceptre (symbolic tool).
The exhibition "DOMESTICATION" explores the interior of the human "domus" and the objects it contains. I will show a whole collection from wild vases to archaic kitchen tools, from the domestication of fire to the invention of the stool. 

 


 

Museum der Menschheit

Museum der Menschheit

 

Pour ses 25 ans, la Kunsthalle Arbon organise une exposition collective autour du thème de l“espace (Raum). La commissaire Deborah Keller envisage cette notion dans tous ses aspects, aussi pragmatiques que philosophiques. 

Ma proposition «Museum der Menschheit» (Musée de l“humanité) est un ensemble de sculptures installées sur un tableau noir. Ces sculptures sont des moulages de tout horizon des traces de l“humanité: objets culturels, religieux, décoratifs, utiles... Tous ces moulages sont réalisés dans un mélange de plâtre et de marbre et cuits à 1200°C. Ce mélange se transforme en chaux vive, matière très réactive, qui s“associe avec le gaz carbonique ambiant et gonfle, puis tombe en poussière. 

Les sculptures disparaissent au cours du temps, se diluant dans l“espace ambiant, et deviennent informe, poudre de craie blanche traçant des constellations sur le tableau noir. 

Exposition collective Kunsthalle Arbon
Vernissage samedi 18 août 17h
Exposition du 19.08 au 23.09


 

COSMOS, Palais de Rumine

COSMOS, Palais de Rumine

«La Basilique Céleste» , 2018

corde, 15 x 15 x 9 m

Cette oeuvre a été créée en écho à la grande exposition COSMOS, qui réunit les 4 musées du Palais de Rumine à Lausanne, du 2 mai 2018 au 6 janvier 2019.

Suspendu dans l'Atrium du Palais, la «Basilique céleste » fait contrepoids au massif du bâtiment. Sa structure flotte légère sous la verrière, formant un dessin, une maquette virtuelle, un reflet du Palais, mise en abyme de l'édifice, irréelle et pourtant déformée par sa propre gravité, insignifiante.

Par sa présence, l'esquisse questionne toutes ces construction majestueuses, ces pierres, ces palais, dont elle reproduit le schéma tout en inversant les codes de logique constructive. Conçu selon un plan classique symétrique avec abside et ordonnée, cette basilique n'est que dessin dans le vide, délimitant un espace inatteignable. Inversé, il se courbe selon la gravité, à l'opposé de ses modèles construits pour s'élever. C'est un temple, un palais, une serre, une termitière, une cathédrale, un observatoire, une centrale nucléaire. On découvre sa structure, d'abord par en-dessous comme une stalagmite dans une grotte. Le regard traverse l'oeuvre, se perd dans son tricot céleste et finalement se rattrape aux cordes.


Art Paris 2018

Art Paris 2018

Le mur des choses, 2018

Art Paris, Grand Palais, 4 — 8 avril 2018

Une collection, un inventaire, un herbier de choses humaines.

 

L’accrochage proposé pour Art Paris (avec la Galerie C) investit

un mur de 11 mètres de long avec plus de 100 sculptures, objets et autres artefacts.

C’est le retour des choses.

L’ensemble questionne notre identité d’Homo Faber, l’Homme qui fabrique,

c’est d’ailleurs l’artiste qui a fabriqué chaque objet.

Ce catalogue étale en deux dimensions des objets insolites témoins de notre

monde matériel. Des formes en pleine croissance ; des statues absentes,

dont le vide a envahit le plein ; des vestiges, des copies, et des originaux.

Un semblant d’ordre règne pourtant sur cette collection, organisée de façon

muséale. Les matériaux s’articulent de manière alchimique, la fonte de métal

(aluminium, plomb, étain), le charbon, le ciment, le polystyrène, le soufre,

le plâtre, la céramique et le verre.

Toutes les pièces dialoguent entre elles, chacune ayant un double, une ombre

négative ou lumineuse.

 


 

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Christian Gonzenbach vous souhaite une merveilleuse année ? _ | ?.

 


 

INVERSO

INVERSO

Galerie C_ Neuchâtel

INVERSO, Exposition avec Eric Poitevin, Uwe Wittwer & Christian Gonzenbach

14.09.2017 — 04.11.2017

Vernissage 14.09 18h-20h

L’exposition INVERSO tend à s’éloigner d’une quelconque vocation narrative, nourrissant une volonté absolue de raconter.
L’entièreté de la contemplation prend tout son sens dans le travail des trois artistes qui façonnent l’exposition: Christian Gonzenbach, Éric Poitevin et Uwe Wittwer modèlent un univers où il ne s’agit non pas de reproduire une réalité visible, mais plutôt le souvenir d’une perception.

Inversement à la normalité, les bustes de Christian Gonzenbach semblent se rétracter dans une ultime tension, alors que les oiseaux d’Éric Poitevin tentent dans un vertige mortelle d’accéder à une liberté désormais disparue. Les aquarelles d’Uwe Wittwer déploient subtilement d’éclatants soleils qui semblent n’appartenir qu’à la nuit de notre imaginaire.

Christian Egger

 

«  Au centre de la salle, un socle unique et immense s'étend sur plus de quinze mètres carrés.

Sur ce socle se déploie un paysage de formes et de matières.

C'est un jardin de sculptures rassemblant des œuvres récentes. Des formes en pleine croissance ; des vases dont le contenu jaillit, figé dans son mouvement ; des statues absentes, dont le vide a envahit le plein ; des vestiges, des copies, et des originaux. Un semblant d'ordre règne sur cette collection, organisée de façon muséale. Les matériaux s'articulent de manière alchimique, la fonte de métal (aluminium, plomb, étain), le charbon, le ciment, le polystyrène, le soufre, le plâtre.

Toutes les pièces dialoguent avec l'espace, essayant comme nous de trouver leur place entre trop et pas assez. »

Christian Gonzenbach

 


 

ORACLE au CEVA

ORACLE au CEVA

Portes ouvertes du CEVA, nouvelle gare des Eaux-Vives, Genève

23 — 24 septembre 2017

10h — 17h Chantier de la gare des Eaux—Vives

Sur le site de la nouvelle gare, un monstre futuriste a été découvert. Il communique par télépathie avec les visiteurs et répond à leurs questions sur l“avenir.

YES FUTURE!

organisation: CFF / Action-Daïana.ch


 

FUEGO FUEGO!!

FUEGO FUEGO!!

 

ALLUMAGE DE FUEGO!

Samedi 20 mai 2017, lors de la Nuit des Musées, FUEGO s“allumera dès 21h30 au Musée Ariana, Genève.


 

Campus Biotech

Campus Biotech

«Les Accessoires de la marche», 2017

 

Installation dans le hall d“entrée du Campus Biotech dans le cadre de Heartgeneva

Visible tous les jours jusqu“au 30 août 2017.

 

L'architecture du mouvement. 

Dans le hall du Campus Biotech, deux vitrines verticales toute en hauteur accueillent le visiteur. Elles contiennent les os des quatre pattes d'une girafe. C'est une mise en abyme du bâtiment -coque en verre, serre, vitrine- qui contient l'architecture du vivant. Ces pattes gigantesques, plus hautes qu'un humain, nous confrontent à une réalité animale, biologique, magnifique dans son articulation et sa fonction.

Si proches de nous, vertébrés également, et si éloignés en même temps, ces os nous parlent de la magie de l'évolution qui a permit l'apparition de ces êtres majestueux, les girafes. La mise sous verre évoque le rapport ambigu entre science, musée et mode, avec cette obsession du voir. Ces pattes sont des accessoires poussés jusqu'à l'extrême, talons hauts ou prothèses naturelles, les plus longues du règne animal.

Face à ces vitrines, on ne peut que réfléchir sur notre propre place dans cette dynamique de l'évolution, dont on découvre à peine la diversité mais on ignore ce qu'il en adviendra.



 

 

Metamorfosi Museo d'Arte Mendrisio

Metamorfosi Museo d'Arte Mendrisio

vue de l'exposition

METAMORFOSI

Un regard sur la sculpture contemporaine, commissaire Daniele Agostini.

Museo d“Arte di Mendrisio

du 9 avril au 25 juin 2017

Avec Ai Weiwei John Armleder Jean Arp Selina Baumann Mirko Baselgia Alan Bogana Carlo Borer Lupo Borgonovo Serge Brignoni Lorenzo Cambin Loris Cecchini Julian Charrière Tony Cragg Matteo Emery Luisa Figini & Rolando Raggenbass Christian Gonzenbach Christiane Löhr Claudia Losi Penelope Margaret Mackworth-Praed Benedetta Mori Ubaldini Meret Oppenheim Julia Steiner Gerda Steiner & Jörg Lenzlinger Teres Wydler 


 

FUEGO au Musée Ariana

FUEGO au Musée Ariana

 

Produite pour Art Genève par le Musée Ariana, la pièce FIRE a emménagé dans le parc du Musée pour être rebaptisée FUEGO. 

Visible tous les jours.


 

Wiederstand / Résistance

Wiederstand / Résistance

Wiederstand, un projet de Hans Rudolf Jost et Friederike Schmid à  White Space Black Box 

 

Ypoons est un chien retourné.

Qu'est-ce qu'un chien retourné?

Un chien retourné à la maison ?

Un chien retourné à l'état sauvage ?

Non, Ypoons un chien naturalisé dont la peau a été inversée, les poils se trouvent à l'intérieur. Ce simple geste d'inversion provoque un questionnement qui le dépasse : l'animal n'est plus vraiment mignon, son statut domestique est remis en cause. Et qu'en est-il de notre propre pilosité ? Est-elle cachée à l'intérieur avec notre instinct sauvage ?

Dans un travail artistique la résistance peut se situer à différents niveaux. Celle qui m'intéresse le plus est celle qui nous résiste, celle qu'on a de la peine à décrire.

Une œuvre d'art peut nous résister. 

Une œuvre d'art doit nous résister. 

Une œuvre fonctionne si elle nous touche, si elle nous remue à un degré sans que nous ne puissions forcément l'analyser. Et même lorsque nous en comprenons tous les composants, la façon dont elle a été faite, l'intention de l'auteur, il peut subsister des choses qui nous résistent, et c'est probablement le plus important, ce qui fait l'essence de l'art.


 

 

 

MUD & FIRE

MUD & FIRE

FIRE, 2017, Geneva lakeside

 

Le projet MUD & FIRE répond à l“invitation faite par le Musée de l“Ariana de créer leur stand pour la foire ArtGenève

Deux sculptures ont été réalisées pour cette occasion: FIRE au bord du lac et MUD au centre du stand.

Le stand présente une sélection de curiosités sélectionnées par l“artiste dans les réserves du Musée.

La sculpture FIRE sera mise à feu le mardi 24 janvier à 17h30.


 

 

SERUT PLUCS

SERUT PLUCS

Première exposition personnelle en Italie, à la Galerie Ribot, Milan.

28.09 — 19.11.2016

OPEN END

OPEN END

 


 

Vertigo, émission RTS

Vertigo, émission RTS

 

émission radio Vertigo avec Pierre-Philippe Cadert

à écouter sur RTS


sélection de VIDEO ICI


 

La Chute de Rome

La Chute de Rome

LA CHUTE DE ROME

Château de Gruyères

01.07 — 30.10.2016


 

Making Things

Making Things

 

MAKING THINGS

Kunsthalle Arbon

Vernissage samedi 4 juin 17h

Exposition du 5 juin au 10 juillet 2016

 

 


 

Troie, ce qu'il en reste

Troie, ce qu'il en reste

 

Exposition KNOCK ON WOOD

Galerie Magda Danysz

78, rue Amelot / 75011 Paris

Vernissage mardi 10 mai de 18 à 21h

Exposition du 10 mai au 18 juin 2016

Avec Art & Language, Les Frères Chapuisat, Christian Gonzenbach, Tadashi Kawamata, Wang Keping, Steve More...


 

La Chapelle à la Girafe VIDEO

La Chapelle à la Girafe VIDEO

CHAPELLE

CHAPELLE

La Chapelle à la Girafe, 2016

Musée de la Chasse et de la Nature, Paris

30 mars au 4 septembre 2016

Une chapelle en bois de plus de 8 mètres de haut a été construite pour abriter un squelette de girafe. En entrant, on se retrouve entre la peau du bâtiment et les os de l“animal, dans une situation décalée où le spirituel côtoie le scientifique. On se sait qui de l“édifice ou de l“animal a pris la forme de l“autre. 

Coproduction Musée de la Chasse, FMAC, FCAC et Pro Helvetia


 

POLLUX à ARTMÔTIERS

POLLUX à ARTMÔTIERS

Pollux, 2015

 

Installation du Pylône-Chat, totem et phare de Môtiers.

Un pylône électrique de 12 mètre de haut, en bois qui surplombe le village et la vallée.

Visible dès le 20 juin. 

Art Môtiers

Video de l“installation sur Canal Aplpha


 

CURRY & PAPRIKA

CURRY & PAPRIKA

Curry & Paprika, 2015

Béton

 

Lauréat d“un concours pour l“aménagement d“un quartier résidentiel à Regensdorf, Christian Gonzenbach propose d“installer deux sculptures: Curry et Paprika. Ces blocs étranges, qui nous rappellent les pierres de lettrés chinois, sont issues d“un processus complexe cherchant à matérialiser la forme que prend la sauce qui coule sur les pâtes.

http://mobimo-art.ch

 


 

FATA MORGANA

FATA MORGANA

Fata Morgana, 2015

Squelette de dromadaire, étang

 

Fata Morgana contient tous les éléments de l'oasis: le plan d'eau, le soleil, la végétation, le dromadaire et le squelette. Seulement voilà, dans cette pièce de Christian Gonzenbach, rien n'est à sa place, les ingrédients ne suffisent pas, il faut les assembler dans le bon ordre. Et c'est justement cet ordre qui est remis en question par l'artiste, qui s'est amusé à mélanger les rôles: le dromadaire marche sur l'eau, le squelette n'est pas tout-à-fait mort, et Fata Morgana devient une image poétique, une rêverie d'été.

 

http://www.skulpturen-biennale.ch/


 

Tribune de Genève 19 mars 2015

Tribune de Genève 19 mars 2015

Article par Anna Vaucher.

 

 


 

MORPHOSIS

MORPHOSIS

Exposition solo à la galerie SAKS du 19 mars au 24 avril 2015

Vernissage jeudi 19 mars (Nuit des Bains)

Galerie SAKS 

 


 

 

 

Chasseur sachant chasser

Chasseur sachant chasser

Exposition au Château de Kerjean (Finistère) du 28 mars au 1 novembre 2015

Organisée avec le Musée de la Chasse et de la Nature à Paris, mêlant Art Contemporain et pièces authentiques avec la participation du «Great Stuffed Rabbit».

Commissaire: Claude d’Anthenaise

lien

 


 

Fracking à l'EPFL

Fracking à l'EPFL

Article paru dans le 24 Heures le 30 janvier 2015

 

Portrait de l'artiste par Laurent Delaloye

Portrait de l'artiste par Laurent Delaloye

paru dans la Tribune de Genève le 28 janvier 2015


 

ArtGenève

ArtGenève

Colonne Serpentine, 2014

200 x 75 x 85 cm

Béton blanc

 

A la foire ArtGenève, stand B37 Galerie SAKS

et dans le Living Room de Samuel Gross!

 

 


 

Dripstone

Dripstone

Dripstone, 2014

300 x160 x 80 cm

Béton teinté

Quai Wilson, Genève

 

Dans le cadre de la foire ArtGenève, une sélection de sculptures ont été installées au bord du lac.

Visible du 27 janvier au 28 février 2015 

 


 

Jäger & Sammler

Jäger & Sammler

Museum Morsbroich

21.09.2014 — 11.1.2015

 

Exposition collective sur les artistes comme chasseurs-cueilleurs avec des oeuvres de 

David Chancellor, Henry Coombes, Sinje Dillenkofer, Mark Dion, Daniel & Geo Fuchs, Christian Gonzenbach, Roderick Hietbrink, Carsten Höller, Christian Jankowski, William Lamson, Claus Kienle, Isa Melsheimer,Guy Oberson, Simona Pries, Glen Rubsamen, Erik Schmidt, Andreas Slominski, TINKEBELL und Francis Zeischegg.

 

 


 

Fracking

Fracking

EPFL, Rolex Learning Center

Cherchant à matérialiser la propagation d’un liquide dans un milieu, l’artiste coule de l’aluminium en fusion dans du sable allégé. Le métal liquide se répand comme une goutte d’encre dans l’eau, puis se fige sous cette forme. Ces coulées ressemblent à des champigons, des fleurs de sel ou des coulées de lave solidifiées, des météorites, entre métal et minéral. Ces formes obtenues sont installées sur des structures en tuyaux de cuivre, comme des pierres de lettré dans leurs étagères chinoises. Ces architectures en tuyaux servent habituellement au transport des fluides, qui s’échappent et se figent en nuages d’aluminium.

 


 

Chirstian Gonzenbach discute de la physique des particules dans son atelier. (video)

 


 

Edition VFO

Edition VFO

Ereignishorizont, 2014 

Edition de 5 héliogravures par l'atelier Arno Hassler

 

Les éditions VFO à Zürich ont invité Christian Gonzenbach à réaliser une série de gravures.

Une baleine qui sort de son milieu liquide pour rencontrer la terre ferme signifie la fin de sa vie et la disparition de son monde, c’est triste comme la mort d’une étoile. Le cétacé s’effondre sous sa propre masse, il devient trou noir car la gravité est trop forte. En disparaissant, la baleine entraine avec elle son univers, un monde auquel nous n’avons et nous n’aurons jamais accès. De ce monde anéanti, nous ne percevons que la surface noire, un contour rempli d’ombre, d’inconnu et de fantasme, de la matière obscure. Avec la série de gravures Ereignishorizont, l’artiste explore comment l’absence prend une forme, le désarroi humain face à la substance opaque du néant.


 

Salmigondis

Salmigondis

expo Solo à la galerie Vincent Sator, Paris


5 juin - 19 juillet 2014

Sous le titre de Salmigondis, le sculpteur genevois présente ses toutes dernières pièces. Poursuivant sa quête de l’inversion, l’artiste a creusé des formes en négatif, utilisant des outils incandescents qui forent librement des tunnels dans des blocs de polystyrènes tels des insectes xylophages. Les sculptures sont ensuite réalisées en remplissant ces moules de résine et en détruisant la gangue de polystyrène. Les formes apparaissent alors, surprenantes, intestines, elles traduisent les mouvements produits lors de la fabrication. On est face à des structures d’organes, des stalactites artificielles, des architectures de notre propre intérieur. Elles s’apparentent aux g?ngshí, ces rochers insolites que les lettrés chinois collectionnent et qui selon la tradition auraient grandi sous terre comme des pommes de terre pour former ces minuscules montagnes biscornues propres à la méditation.


 

Arte Video Night

Arte Video Night

Arte Video Night, Palais de Tokyo, Paris

26.10.2013 / 20h30


 

Big Cartoon Festival Moscow

Big Cartoon Festival Moscow

Big Cartoon Festival, Moscow

31.10 - 11.11.2013


 

A Contrario

A Contrario

Musée des Beaux-Arts, La Chaux de Fonds

4.10.2013 - 16.03.2014

L'exposition présente les pièces clés de Christian Gonzenbach de ces cinq dernières années, au cours desquelles l'artiste s'est intéressé au problème de l'asymétrie des choses. En partant d'une hypothèse contraire, on devrait a contrario obtenir l'opposé de ce que l'on cherche. Pourtant l'artiste traque l'imprévisible, quand soudain l'envers et l'endroit ne correspondent plus. Il travaille à l'instar d'un scientifique, qui par des expériences et des manipulations suivant ses propres protocoles, trouve enfin ce qu'il n'a pas cherché.


 

Gonzenbach, Jongkind, Barde & ...

Gonzenbach, Jongkind, Barde & ...

Château de Nyon

29.11.2013 - 16.02.2014

Cet accrochage hivernal présente les acquisitions et dons récents venus enrichir les collections du Musée historique de Nyon. On y trouvera ainsi trois portraits de Nyonnais retrouvés chez leurs descendants, un service de porcelaine commandé en 1784 à la manufacture de porcelaine de Nyon et toujours resté propriété de la même famille, des oeuvres du céramiste genevois Philippe Barde (dont certaines acquises par la Commission des affaires culturelle) ainsi que la splendide vue de Nyon peinte en 1875 par le peintre Jongkind. En outre, l’artiste Christian Gonzenbach présentera dix de ses étranges bustes classiques, de la série Hcabneznog, remaniés jusqu’à composer de nouveaux portraits aux reflets métalliques.


 

Blow Flies

Blow Flies

Photoforum Centre Pasquart, Bienne

13.10 - 24.11.2013

L’exposition Blow Flies rassemble des positions artistiques contemporaines abordant sous différents aspects le genre classique de la nature morte. La dégradation, la ruine ainsi que les processus qui leur sont attachés constituent le thème dominant des œuvres sélectionnées ou produites pour l'exposition. L’attrait provoqué par ce qui relève de l’invisible ou du refoulé est également exploré, dévoilant des rapports ambivalents au vivant et une tension entre nature et artificialité.

 


 

Like It!

Like It!

ESSL MUSEUM, Wien

23.10.2013 - 06. 01. 2014

 


 

Icons Idols

Icons Idols

Exposition solo à la Galerie SAKS

8 nov - 21 déc 2013

Pour sa deuxième exposition personnelle chez SAKS, Christian Gonzenbach (*1975, vit et travaille à Genève) présente "La Pietà", la première sculpture en fonte d'aluminium de sa série intitulée Hcabneznog. A partir du modèle de la fameuse sculpture de Saint-Pierre de Rome par Michel-Ange, l'artiste crée une vision dont les contours semblent a priori échapper à toute logique, mais pourtant née d’une élémentaire modification de point de vue: de l’inversion du relief dont les creux deviennent volumes et inversement. C’est par ce jeu sur les vides et les pleins qu’apparaît une nouvelle plastique, une vision d’une inquiétante étrangeté.

 


 

Wunderland

Wunderland

July 12 - August 11 2013

Château de Rue

 


 

Château de Tarascon

Château de Tarascon

14 juin - 31 octobre 2013

"Ulysses, rives imaginaires"

Château de Tarascon

Le monumental Château du XVième présente une exposition avec une dizaine d'artistes dont Françoise Petrovich, Delphine Gigoux-Martin, Ariane Michel et Christian Gonzenbach qui intervient dans la chapelle haute. 


 

I'm Your Neighbour!

I'm Your Neighbour!

14 juin - 21 juillet 2013

Bromer Art Collection, Roggwil

 


 

Fire It Up

Fire It Up

31 mai - 29 juin 2013

Dienstgebäude, Zurich

Exposition collective présentant dix positions d'artistes suisses face au matériau céramique.

Commissaire Olga Stephan


 

Bulbfiction

Bulbfiction

1 juin - 21 juillet 2013

Centre d'art contemporain Yverdon-Les-Bains

 Exposition collective pour inaugurer le nouveau Centre d'art contemporain d'Yverdon, dirigé par Karine Tissot.

 


 

Toshiba House

Toshiba House

24 mai - 28 juin 2013

Appareil Reproducteur

Toshiba House, Besançon

Dans l’espace Toshiba House, ancien magasin des célèbres copieurs japonais, Christian Gonzenbach place un appareil primitif, une sorte de presse surdimensionnée. Ce dispositif permet au visiteur de presser de l’argile dans des moules pour produire de petites figurines paléolithiques, des Vénus aux formes féminines généreusement hypertrophiées. Ces statuettes, les plus anciennes figurations humaines connues, ont été agrémentées pour l’occasion d’oreilles de lapin, autre symbole de fécondité.

Avec l’outil placé au cœur du travail, l’acte de produire devient le vrai sujet, et en déléguant cet acte au visiteur, l’artiste s’affranchit de la paternité des œuvres. La fonction reproductrice de cette matrice permet ainsi la dissémination maximale des figurines, chacun partant avec son tirage. 


 

Galerie Reinart

Galerie Reinart

19 mai - 30 juin 2013

Galerie Neuhausen am Rhein

Zusammen Mit 

Marianne Engel &

Andreas Mart


 

De l'inachevé

De l'inachevé

3-19 mai 2013 Halles CFF Lausanne

Exposition de dessins, dans les anciennes halles CFF de Lausanne.

site de l'exposition


 

Délices d'artistes

Délices d'artistes

3 mai 2013 - 30 avril 2014

Alimentarium, Vevey

site de l'exposition

 


 

Chevrolet Centennial Artwork

Chevrolet Centennial Artwork

Le 3 octobre a été inauguré officiellement le monument dédié à Louis Chevrolet dans le parc de l'Ouest à La Chaux-de-Fonds. Après 2 ans de travail, la sculpture en inox a finalement été mise en place sur son socle entouré d'un parterre de gazon. 

 

video

émission canal alpha

Lauréat du Concours pour un monument à Louis Chevrolet co-fondateur de la célèbre marque éponyme.

Fabriqué en fonte d'acier inoxydable poli miroir et haut de 5 mètres, ce portrait inversé de Louis Chevrolet sera installé à La Chaux-de-Fonds, lieu de naissance du coureur automobile.

Plus d'infos 

site de GM Europe


 

Dialogues de Bêtes

Dialogues de Bêtes

30 janvier - 5 avril 2013

Centre culturel d'Oyonnax 

Exposition avec Quentin Garel, Christian Gonzenbach, Feng FangYu, Eric Pillot... 

Curatrice Chantal Farama


 

Cibles

Cibles

21 décembre 2012 - 31 mars 2013

Musée de la Chasse et de la Nature, Paris

Selon une tradition d’origine germanique remontant au XVIe siècle, les sociétés de tirs organisent des concours dont l’enjeu consiste à tirer sur une cible minutieusement décorée de scènes de genre. Les tireurs étaient appelés à exercer leur habileté sur ces images représentant des animaux ou des personnages. Une fois criblées de balles, celles-ci avaient valeur de trophées pour les vainqueurs des compétitions.

L’œuvre conçue pour être détruite témoigne d’un rapport à la pratique artistique dont une partie de la création contemporaine pourrait être le prolongement. C’est ce qu’explore l’exposition. Une cinquantaine de cibles anciennes, principalement conservées dans les musées de Croatie, sont ainsi confrontées à des œuvres récentes utilisant le motif de la cible (Jasper Johns, Stephen Dean, Camilia Sposati …), marquées d’impacts (Lucio Fontana…) ou dont le processus créatif recourt au tir (Niki de Saint Phalle, Anne Deleporte, Christian Gonzenbach…).

Le thème de la cible permet également d’évoquer la notion du « regard prédateur » indissociable de la création artistique depuis les origines. L’art comme instrument de capture trouve notamment son expression dans la figuration du « corps-cible », qu’il s’agisse de l’image de l’animal (Mark Dion, Alain Séchas, Arno Kramer…) ou de celle de l’homme (Marija Ujevi?-Galetovi?, Shirin Neshat…). Ainsi les représentations du martyre de saint Sébastien (Pierre et Gilles…) viennent rappeler que ce personnage est patron des archers et protecteur des sociétés de tir.


 

Capsule 1.2

Capsule 1.2

21 Février - 21 Mars 2013

Capsule 1.2 Halle Nord, Genève


 

Humus Musculus

Humus Musculus

26 février - 16 juin 2013

Experimenta 13, Congrès Nature, Messeplatz, Basel 

Une baleine est aperçue dans les eaux du Rhin. Fuyant les océans devenus trop acides, elle s’est échouée en pleine ville de Bâle. Les curieux se désintéressent vite du phénomène. Entre temps le corps a été remorqué le long de la Riehenstrasse jusqu’à un petit parc, les autorités de la Ville ne sachant que faire de ce cadavre encombrant qui est abandonné aux corneilles. Mais le festin est trop copieux pour les oiseaux.

En cette période de pénurie de terres arables, cette masse d’humus est une aubaine pour les habitants du quartier qui viennent ensemencer de légumes la gigantesque dépouille. En quelques mois, le dramatique monticule est devenu un jardin d’abondance.


 

Zoonomia

Zoonomia

21 janvier - 27 mars 2011

La Condition Publique, Roubaix

 Exposition personnelle sur 2000m2 comprenant un zoo et un muséum.